Impulsions Femmes
Egalité Femmes / Hommes

Vous êtes ici : Accueil

Les artistes

Mariana Otéro

photo Otero 1


Mariana Otéro a réalisé en 1994 pour Arte une série de six documentaires de 22 minutes, La Loi du collège, traitant de la vie quotidienne de jeunes adolescents dans une banlieue parisienne durant l'année scolaire 1992/1993.

En 2003, la cinéaste met en scène Histoire d'un secret, un film à mi-chemin entre le documentaire et la fiction dans lequel elle s'interroge sur la disparition de sa mère alors qu'elle n'était qu'une enfant. Sept ans plus tard la documentariste réalise son second long métrage. Entre nos mains, qui suit les turpitudes d'une petite coopérative française aux heures de la crise économique, est présenté au Festival de Cannes 2010 dans la sélection de l'ACID, l’Association pour le Cinéma Indépendant et sa Diffusion.
Ce film qui aborde la situation des femmes dans ce contexte de crise économique, nous voyons ces salariés majoritairement des femmes  qui prennent en main leur entreprise de lingerie menacée de faire faillite, en la transformant  en coopérative.

 Au fur et à mesure que leur projet prend forme, ils se heurtent à leur patron et à la réalité du « marché ». L’entreprise devient alors un petit théâtre où se jouent sur un ton espiègle, entre soutiens-gorge et culottes, des questions fondamentales économiques et sociales. Les salariés découvrent dans cette aventure collective une nouvelle liberté.
Et là est pour nous le déclic, Nous décidons deux ans plus tard de collaborer avec Mariana dans le cadre du Festival Impulsions en 2012. Non seulement, elle est marraine mais elle a également une carte de blanche dans la programmation cinématographique du festival.

« Etre féministe aujourd’hui, c’est aussi prendre en compte les enjeux économiques, la mondialisation qui ont une influence au niveau des rapports sociaux de sexe. S’interroger sur la situation des femmes dans la crise économique, c’est œuvrer à faire avancer le débat pour une meilleure égalité des femmes dans tous les domaines » (Mariana Otéro).
Un point partagé entre Mariana et Impulsions Femmes.

photo Otero 2

Cie Forget me not

La collaboration avec la compagnie s’est faite autour de leur théâtre musical « suis-je belle ? » pour l’édition 2014 du Festival Impulsions. Un spectacle reprenant les classiques d’Yvette GUILBERT. Une ambiance café-concert qui correspond très bien au style cabaret insufflé par le festival.

Ce spectacle est mis en scène par Laurent MEININGER, spectacle composé de Priscille CUCHE au chant et Agnès DOHERTY à la contrebasse.

Priscille CUCHE, après l'Ecole du Centre Dramatique National de Saint-Étienne, elle travaille sur plusieurs spectacles comme comédienne avec Chantal Morel (Crime et Chatiment, La Révolte,Frankenstein) , ainsi qu'avec Jean-Louis Hourdin dans Woyzeck, Une confrérie de Farceurs, Clarisse et Mehdi, et dans les spectacles chantés Je suis en Colère et Coups de Foudre. Elle travaille aussi en tant que marionnettiste avec Emilie Valantin sur Castelets en Jardins, avec Sophie Talabot dans Le Chant des Poulies. Elle travaille également avec Roland Fichet, Julie Brochen et Robert Cantarella sur le projet des Naissances, ainsi qu'avec Archipel Théâtre, Luc Chareyron, Jean Lambert-Wild, Christiane Véricel, Laurent Meininger, Cécile Marmouget. Elle met en scène Porcherie de P.P. Pasolini et Fin d'un Conte de Reinaldo Arena

Agnès DOHERTY se lance dans la musique de théâtre avec Jean-Louis HOURDIN en 2000 avec le théâtre ambulant Chopalovitch. Elle compose et interprète différentes musiques pour contrebasse et violoncelle. Depuis 2005, elle propose des créations en solo, des contes en musique pour enfants, des spectacles avec contrebasse croisant Fallet et Brassens.                                     

IntentionsLe spectacle parle de la femme et de l'amour, mais c'est sûrement plus large que ça...Je voudrais que ce soit un peu provocateur et militant tout en restant doux et drôle, en tout cas
IRONIQUE sur la femme et l'homme, parce qu'on a toujours rien compris d'un coté comme de l'autre, et c'est ça la grande affaire.
Ce qui rassemble ce répertoire en dehors de ces variations sur le même thème, c'est la traversée de la chanson populaire ancienne ou moderne, de la variété et du tube de radio. On y trouve quelque chose de commun, qui touche directement, comme un air d'enfance oublié. C'est ça qui me plait, la rengaine que tout le monde connaît sans la connaître et qui parle presque toujours de la même chose, de la difficulté des femmes et des hommes, des ambivalences et du drame tendre et risible de ces rapports humains.
..En d'autres termes, il s'agit du génial répertoire d’Yvette Guilbert en relation avec quelques chansons d'aujourd'hui, maniant comme elle l'ironie, la tendresse, la férocité et l'humour.

Yvette Guilbert est la grande interprète du caf'-conc' du début du XXème siècle.
Elle va traverser un demi-siècle, cherchant partout, dans le répertoire réaliste comme dans la chanson ancienne, du Chat Noir aux grandes salles parisiennes, ce qui peut témoigner de l'intrépidité du désir qui n'épargne personne, pas plus les femmes essayant d'échapper à leur condition que les hommes, héroïques marionnettes politiques. Première «diseuse fin de siècle» comme la caractérisaient ses contemporains, elle est sans doute une des premières chanteuses modernes, explorant le registre grave, le parlé-chanté, avec une grande liberté, dégagée des codes féminins de l'époque.



Julie Dossavi

photo dossavi 

Athlète de formation (UEREPS option danse contemporaine), Julie Dossavi danse avec Jean-François Duroure et Philippe Decouflé (assistante pour la cérémonie des J.O. d’Albertville). Elle est interprète et assistante chorégraphe auprès de Kettly Noël, danseuse interprète avec Salia Ni Seydou, Kader Attou et collabore à des défilés de mode (Jean-Paul Gaultier). En 2003, elle créé la Compagnie Julie Dossavi à Poitiers et développe une danse contemporaine très personnelle, hybride et robuste, sensuelle et plastique, toute en variations de formes et de rythmes. Elle compose des spectacles intimes autour de la condition féminine et du phénomène de la double culture.

A côté de pièces chorégraphiques pour plusieurs interprètes (Agbazémé avec des danseurs du Tchad, La nuit les chats le gris_Clubbing...), Julie Dossavi creuse la forme du solo dansé sur une scène partagée avec des musiciens ou des chanteurs. Invitée par la manifestation Le Vif du sujet en 2004, elle demande à Daniel Larrieu de lui composer un solo, À chaque vent le papillon se déplace sur le saule, présenté par les festivals Montpellier Danse et Paris Quartier d’été. En 2012, elle présente Cross & Share aux Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine Saint Denis, où elle explore une troisième voie, celle d'une co-composition, co-écriture et réunit autour d'un principe de création partagée des auteurs, chorégraphes, musiciens, metteur en scène de renom : Thomas Lebrun, Serge Aimé Coulibaly, Hamid Ben Mahi et Michel Schweizer.

Julie Dossavi est artiste associée aux Treize Arches – scène conventionnée de Brive Arts Croisés / Ecritures d’aujourd’hui de 2013 à 2015. Elle était en résidence au Théâtre d’Angoulême scène nationale de 2007 à 2011 et "artiste en partage" au Centre Chorégraphique National de la Rochelle de 2011 à 2013.
Entre Julie et Impulsions Femmes, la rencontre abouti à une collaboration artistique autour de « Lalaï ». « Lalaï » est une performance in situ pour une danse, une pianiste et une violoncelliste. Cette performance a été créée dans le cadre de l’édition 2012 du Festival Impulsions au Musée Bernard d’Agesci.

Pour en savoir plus : http://www.cie-juliedossavi.com
Crédits photos : Gregory Brandel

Juliette

photo juliette 1

Après avoir passé son adolescence dans une institution religieuse. Elle entre en faculté de lettres puis de musicologie. Elle se produit régulièrement durant cette période dans les bars et restaurants de Toulouse, comme pianiste, en jouant du Brel ou du Edith Piaf.
Elle est découverte au Printemps de Bourges en 1985, quelques années plus tard, en 1991 elle remporte le prix du jury et du public au Tremplin de la chanson des Hauts-de-Seine, ce qui lui permet de produire son premier album Qué tal ?
En 1997 elle remporte sa première Victoire de la musique dans la catégorie révélation féminine pour son album « Rimes féminines ». En 2006, elle est consacrée artiste interprète féminine à ces mêmes Victoires pour son album « Mutatis Mutandis ».

Juliette aime aussi et surtout travailler avec les autres, ainsi elle a contribué à l’écriture de certaines chanson de l’artiste Olivia Ruiz en 2003 pour l’album « J’aime pas l’amour » et en 2005 pour le célèbre album « la femme chocolat ».
En 2013, elle a mis en scène le dernier spectacle musical du groupe Le Maxi Monster Music Show », groupe qu’elle a rencontré lors de son marrainage à l’édition 2011 du Festival Impulsions. Dernièrement, elle a collaboré avec Madame Raymonde à son dernier spectacle « Lady Raymonde » pour la mise en scène.

En 2013, elle sort son dernier album é « Nour » après « No parano » en 2011. photo juliette 2

Juliette est une artiste coup de cœur à Impulsions Femmes, artiste engagée, elle a été plus qu’une simple marraine pour le Festival Impulsions en 2011. Elle a été force de proposition, les rencontres à Impulsions Femmes ont donné lieu à des projets artistiques comme avec le groupe Maxi Monster Music Show.

photo juliette 3

Madame Raymonde


logo raymondeavec Denis D’ARCANGELO, chant
Sébastien MESNIL, accordéon
Célio MENARD, lumières

Crédits photos :  ©Philippe MATSAS

http://www.madameraymonde.com/

MmeRAYMONDEseule09Retrouvez Madame Raymonde dans son prochain spectacle mise en scène par Juliette (4Mo)

Connaissez-vous Madame Raymonde ?
Avec sa gouaille irrésistible, son franc-parler et sa générosité, cette fille spirituelle d’Arletty revient nous enchanter, nous asséner quelques vérités bien senties, nous parler de mille et une choses, parmi lesquels thème central entre tous : la femme.
Madame Raymonde nous offre quelques uns de ses plus grands succès internationaux :
  • Tu m’as possédée par surprise
  • Le gardien de phare
  • Service militaire
  • A Saint-Lazare
  • Des coups de pied au cœur

Et bien d’autres surprises !

Un sacré personnage, Madame Raymonde !

Talons hauts, robe ajustée, élégant collier de perles et rouge à lèvre un peu trop forcé, elle semble tout droit sortie d’un film de Marcel Carné.
Le personnage de Madame Raymonde incarné par Denis D’Arcangelo a de la gouaille et du panache. Sur scène, elle parle beaucoup, se joue des spectateurs mais avec tant de tendresse qu’elle crée avec eux une complicité émouvante. Mais attention, ne croyez pas qu’elle mâche ses mots. Madame Raymonde nous entraîne dans un tour de chant populaire où, accompagnée de Sébastien Mesnil, son inséparable accordéoniste, elle interprète un joli répertoire tour à tour osé et tendre, souvent drôle, parfois poignant.

Pleine de vie et de caractère, cette fille spirituelle d’Arletty s’abandonne quelquefois à la nostalgie et aux souvenirs émus, mais c’est pour mieux nous faire rire aux larmes. Son bon sens et son humour ont déjà séduit un public nombreux, qui ne se lasse pas de retrouver un personnage unique, de ceux qu’on regrette de ne pas croiser plus souvent.
… et si vous préférez l’histoire de l’histoire :
En 1988, Philippe Bilheur et Denis D’Arcangelo rencontrent Arletty, dont ils sont grands admirateurs, et partent jouer dans la rue, dont ils sont passionnés aussi, avec un orgue de barbarie… De ces deux passions naît en 1989 un personnage très inspiré du rôle d’Arletty dans « Hôtel du Nord », Madame Raymonde…

L’imitation faisant petit à petit place à la création, Philippe Bilheur écrira les dialogues de trois pièces pour la rue mettant en scène le personnage qu’incarne Denis D’Arcangelo, et puis ils co-écrivent enfin ce récital de chansons réalistes, porté haut la main par la « Diva du Petit Monde ».

Denis D’ArcangeloSes premiers pas, Denis D’Arcangelo les fait au Bateau Ivre à Paris avec Virginie Lemoine en 1986.
MmeRAYMONDEduo03En 1990, le personnage de Madame Raymonde est créé dans un spectacle de rue de la compagnie du Tapis Franc. Zone Libre sera le premier épisode de la saga. Deux ans plus tard, Denis D’Arcangelo tourne Les Nuits fauves de Cyril Collard. Il y tient le rôle du chanteur réaliste. Denis participera à plusieurs autres longs métrages. Citons Oranges et Pamplemousses de Martial Fourgeron (1997), Nos Vies Heureuses de Jacques Maillot (1998), Arnaques, Fictions et Cinéma de Jean-François Ferrillon (2000).
Denis D’Arcangelo a tenu le rôle titre du Cabaret des Hommes perdus, qui a été largement récompensé : Marius du Meilleur Musical (catégorie théâtre), Molière de l’Auteur Francophone Vivant, Molière du Théâtre Musical, Nomination au Molière du Metteur en Scène, Prix d'Interprétation au Festival d'Anjou. En 2010, il tient le rôle de Préciosa dans La Nuit d’Elliot Fall de Vincent Daenen et Thierry Boulanger, qui a été nominé au Molière du Théâtre Musical. En 2011, il apparaît à l’opéra, avec le rôle de Mélénas / Bacchis dans La Belle Hélène d’Offenbach, mis en scène par Shirley et Dino à l’Opéra National de Montpellier, repris à l’Opéra Royal de Wallonie à Liège en 2012. Cette même année, il crée le spectacle les 2G aux côtés de Jean-Luc Révol, au théâtre du Balcon, au Festival d’Avignon et au Théâtre du Petit Saint Martin à Paris. Il tient également le rôle de Solange Lafitte dans l’opéra Follies de Stephen Sondheim et James Goldman en 2013 à l’Opéra de Toulon. En 2013 également, il joue le rôle de Dark dans El Tigre d’Alfredo Arias et Bruno Coulais au Théâtre du Rond-Point.
Entre temps, la saga Madame Raymonde continue. De nouveaux épisodes du spectacle de rue sont présentés : 1936 : Madame Raymonde se paie des congés (1992), Madame Raymonde Chef de gang (1995). Enfin en 1999, le tour de chant de la ‹ Diva du Petit Monde › est créé, puis sera renouvelé (Madame Raymonde en 2006, Madame Raymonde revient en 2008, Madame Raymonde exagère en 2009, Madame Raymonde : mes plus grands succès en 2011).
Pendant toutes ces années, le personnage de Madame Raymonde s’est étoffé et enrichi. Denis D’Arcangelo l’épouse à merveille, accompagnée de son inséparable zèbre, Sébastien Mesnil à l’accordéon.

Sébastien MesnilL’accordéoniste de Raymonde, celui à qui elle se confie volontiers, c’est le Zèbre – Sébastien Mesnil pour l’administration française. Comme son nom l’indique, le pedigree de notre accordéoniste est MmeRAYMONDEduo08quelque peu bigarré : études d’accordéon diatonique et chromatique, bien sûr, mais aussi de chant, de percussions, de musicologie... de biologie et de clown. Bref, le Zèbre a tous les talents, des talents qui lui ont valu d’être invité dans de nombreux spectacles et par de nombreux artistes.
La rencontre avec Madame Raymonde a lieu en 2001, au Festival Off d’Avignon, pour le premier spectacle de la grande dame. Depuis, ils ne sont plus quittés. Ce qui n’empêche nullement le Zèbre d’aller promener ses sabots ailleurs, comme accompagnateur, arrangeur et également.

Pour plus d’infos http://www.madameraymonde.com/
http://concertsparisiens.fr/rubrique/detail_artiste/madame-raymonde-.html?idArt=21


Madame DAME


photo madamedame

Elle a participé à plusieurs éditions du Festival Impulsions, dont la dernière remonte à l’édition de 2014.
Une artiste non-conformiste, brise les stéréotypes des artistes femmes dans le paysage musical.
Une artiste engagée, enragée, révoltée et qui abat tous les préjugés et stéréotypes sexistes.

Une artiste comme on les aime à Impulsions Femmes
Madame Dame, de la sueur et du charme…
En tailleur et rangs de perles, Madame Dame, véritable prima donna, offre un show exalté, un délire disco punk, quelque part entre Marlène Dietrich et Nina Hagen.
Pour écouter ses sons ou voir ses vidéos, retrouvez-là sur son site officiel www.madamedame.fr

Francesca SOLLEVILLE

photo solleville

A partir de 1958, Francesca chante dans les cabarets de la rive gauche à Paris, de l’Ecluse à La Contrescape devant Elsa TRIOLET et Louis ARAGON. Durant ses nuits à errer dans les cabarets parisiens, elle fera des rencontres qui lanceront sa carrière.

Fin 1959, elle enregistre son premier disque composé de poèmes de Louis AARAGON et de Pierre MAC ORLAN, et mis en musique par Philippe GERARD.
Ensuite, elle poursuit une carrière artistique riche en rencontre et en succès. Plus récemment, elle a été en collaboration avec Allain LEPREST pour l’album « Francesca SOLLEVILLE chante Allain LEPREST » en 1994. Cette collaboration s’est poursuivie pour les albums suivants.

Francesca SOLLEVILLE a participé à l’édition 2012 du Festival Impulsions où carte blanche lui a été donnée lors de cette édition.
Impulsions Femmes promut l’égalité des sexes, elle donne aussi la part belle aux artistes de talents.
Nous sommes attaché-e-s à l’art engagé, aux spectacles qui mettent en valeur l’écriture, le texte, le fond, qui parle de nous, de notre société.
De plus, Francesca fait partie de ces artistes qui ont fait leur classe dans les bars et cabarets, une ambiance qui nous transmettons au festival.

Pour plus d'infos :
www.francescasolleville.com

La Compagnie SANS TITRE production

ciesanstitreLa Compagnie SANS TITRE production est une compagnie professionnelle depuis 1993, qui depuis 2002 croise des genres artistiques complémentaires : théâtre, slam, danse Hip Hop, vidéo, art numérique. Assimilée « Compagnie Art mêlée », elle explore les écritures contemporaines : textes non dramatiques, théâtre chorégraphique documentaire La Case Noire, conte fantastique slam et numérique La 3ème case, conférence théâtralisée et chorégraphiée La gender conférence, et des textes dramatiques en commande d’auteurs vivants tels que Daniel Danis, Catherine Zambon, May Bouhada pour la pièce Erre, Laure Bonnet EL M [vivarium misanthrope].

Au service du spectacle vivant, elle travaille autour de l’interrogation de la norme, de l’identité, du rapport aux frontières et de la place de l’individu dans la société, du croisement entre l’intime et le politique.

Le projet artistique développé par Anne Morel, metteure en scène, comédienne, auteure et performeuse, envisage la création en dehors des seuls cadres qui lui sont destinés.
Ainsi sont créés des « spectacles outils » : la Gender Conférence, des formes courtes et en processus Slam du Genre, ainsi que des créations faisant écho à la démarche globale du projet de la Compagnie comme EL M. [vivarium misanthrope].

Enfin, la compagnie développe le concept w.i.p. laboratoires de recherches artistiques en lien avec les Universités de Paris III ou de Poitiers, Siences Po - Poitiers, autour de « performer dans l’espace public ».

La Cie Sans Titre est intervenue sur les festivals Impulsions et Les Kultur’elles en 2011 et 2012.
Cette compagnie apporte une réflexion intéressante sur les représentations de genre, les discriminations sexuelles. Elle fait un travail de fond auprès des jeunes de Poitiers, des interventions artistiques au sein de plusieurs manifestations culturelles.

Elle questionne le secteur culturel sur les représentations véhiculées par le secteur du divertissement, et participe par son travail à la promotion de l’égalité femmes-hommes.

Contact :
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
  ou 06 20 38 61 24
http://www.ciesanstitre.com
Facebook Cie sans titre prod

Jérôme Marin

Après plusieurs années au Conservatoire d’Art dramatique d’Orléans dans les classes de Nicole Mérouze et Jean-Claude Cotillard, au cours desquelles il montera sa première pièce : Le Journal de Jack l’Eventreur (en 1996 dans le cadre des travaux d’élèves du Conservatoire), il crée sa première compagnie de théâtre en 1997 : la Compagnie de l’Eau qui dort.
En 2009, il reprend la direction artistique de la Compagnie de l’Eau qui dort, refondée en collectif d’artistes pluridisciplinaires.

De décembre 2006 à décembre 2007, il organise tous les mois à Paris des soirées cabaret décalées au café littéraire l’Ogre à Plumes. En octobre 2008 sort le premier album, enregistré en public, de Monsieur K., intitulé : « L’antre de l’Ogre ».
En janvier 2010, il crée deux nouveaux spectacles musicaux autour des chansons de Boris Vian :
« Chansons possibles & Chansons impossibles ». En 2011, il prépare deux nouveaux spectacles musicaux pour Monsieur K. qui seront créés au Théâtre d’Orléans : « Chansons dégénérées » autour des chansons mises en musique par Kurt Weill ; « Minuit et des poussières… » autour d’un répertoire de chansons originales.

Un tour de chant perdu dans un autrefois imaginaire...
Dans ce nouveau tour de chant, Monsieur K., accompagné de son improbable pianiste, Monsieur Anna Petrovna, vous entraînera sur les sentiers misérables de la gloire déchue, où l'on rit de bon cœur les soirs d'excès et de mauvais vin. Il vous guettera à l'orée des bouges pour vous chanter les drames et les joies des hommes et des femmes de petites vertus. Il vous contera à la lumière de la lune trop pleine des histoires de viande et d'amour, de rêves merveilleux et de cruelles déceptions.
Bref, Monsieur K. nous livrera avec un romantisme incertain et son amabilité habituelle ses nouvelles chansons perdues dans un passé imaginaire et au lourd parfum de notre humanité parfois si peu rassurante.

La première collaboration avec Jérôme s’est faite avec son spectacle « Minuit et des poussières… » où il interprète Monsieur K, un personnage trans-identitaire.  En 2015, nous renouvelons cette collaboration dans le cadre de la prochaine édition du festival Impulsions.

Contact : Compagnie de l'Eau qui dort au 02 38 62 78 19 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Les 3 somessisters

Florent Mateo, Bastien Picot, Sophie Fustec, et Anthony Winzenrith sont des musiciens professionnels collaborant avec bons nombres d’artistes. A eux 4, ils constituent le noyau dur de 3somesisters.

somesistersLe groupe se fait connaitre grâce à un show dantesque mettant en scène des ‘covers’ de tubes Dance des années 90, alliant réarrangements de qualité, looks décalés et attitudes outrancières. Un 1er E.P ‘Big Bang’ combinant ces mêmes reprises et des compositions que les 3SOMESISTERS prétendent prophétiques fait son apparition fin 2012.

S’en suit de nombreuses collaborations excitantes. Yael Naim & David Donatien font appel aux créatures pour les accompagner lors du dernier TARATATA ainsi que pour la création «Dreamy Voices for twisted recreation» jouée Salle Pleyel dans le cadre du Festival Days Off en juillet 2013.

On les voit au côté d’Adanowsky dans son dernier clip, de Nicolas Ullmann, Cyril Bodin, Mélanie Bauer et sur toutes les scènes parisiennes (la Machine du Moulin Rouge, Le Petit Bain, La Belleviloise, le Bus Palladium, le Réservoir, Le China Club, Le Baiser Salé, l’Entrepôt etc...) et en province (les Festivals les arts fous, le GCMC, le Comptoir du Jazz, les Scènes Nationales de Bayonne et Sénart ) Le groupe triomphe dans les tremplins «les Transhumances Musicales et «La Nuit du Chasseur» du Bus Palladium. On en parle sur France Inter, Radio Nova, Le Mouv’...

En 2014, Elles enregistrent sur le nouvel album de Yaël Naim et David Donatien (Sortie Prévue Février 2015 -TOT ou TARD production) et finalisent leur 2nd E.P. de composition. Ce dernier explore les multiples influences (électroniques, ethniques …) du groupe avec toujours ce fil rouge des 3 voix polymorphes. Certains titres ont été co-réalisés par GUSH.

Malgré un planning chargé, ils ont souhaité participer à la 7ème édition du festival Impulsions sur la thématique Mâle-femelle ou la manipulation des coprs. Une thématique qui correspond aux identités transgenre des personnages sur scène.

Contact
(+33) 06 78 81 30 25 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
www.3somesisters.com

Le Collectif XXY

groupe xxyCréé à l’initiative d’Amélie Poirier avec une première mise en scène en 2011 « Hommage à la médecine chinoise (et à l'homéopathie sous réserve) » : un spectacle choral autour d'un concours de danse classique, lauréat du Festival universitaire de Lille 3 et présenté dans ce cadre au Prato et au Théâtre de la Verrière ainsi qu'au Théâtre d'Arras, au Théâtre universitaire de Nancy et d'Avignon.

La petite forme de ce spectacle a également été finaliste du Concours « Danse élargie » en juin dernier au Théâtre de la Ville à Paris. A partir de la saison 2011/2012, Amélie Poirier débute une recherche autour de la GR (Gymnastique Rythmique) d'abord avec la pièce « Cindy Vs Julie » autour du trouble adolescent à travers une compétition de gymnastique qui tourne au catch présentée en avril 2012 à la Maison Folie Wazemmes à l'occasion du Festival de l'Entorse et des Rencontres Féministes et au Festival RIAD à Dunkerque (la création aura lieu en mars 2013 à l'Oiseau-Mouche à l'occasion du Festival Désordre et sera ensuite présentée à La Piscine de Dunkerque notamment), puis avec la pièce « КУМИР » (Kumir/Idole) : une pièce pour une gymnaste et une interprète autour de la question du double avec pour point de départ la mort de la gymnaste russe Oksana Kostina.

De plus en plus, elle s'éloigne du texte pour laisser place aux corps et crée des spectacles « chorégraphiques » avec une forme narrative qui conserve néanmoins une certaine théâtralité. Ses pièces visent à questionner l'intime via une pratique artistique ou sportive et en particulier ce moment de « basculement » de l'adolescence à l'âge adulte, notamment du point de vue du désir et de son trouble.

Après « Princesse », spectacle créé avec Audrey Robin, elle est accueillie cette saison en résidence à l'Oiseau-Mouche à Roubaix et au Vivat d'Armentières et la saison prochaine à la Chapelle de Montréal où elle travaillera sur un projet de recherche : « Carpet Lap Dance » sur les relations entre les danses de mariage et de communion et la pratique des danses érotiques. En 2012/2013 elle poursuivra sa collaboration avec les Rencontres Féministes à l'occasion du Festival Désordres, mais aussi avec l'Oiseau-Mouche à Roubaix (à l'occasion de résidences et d'un labo avec les comédiens de la Compagnie).

Le Collectif XXY a travaillé avec Impulsions Femmes dans le cadre l’édition2014 du Festival Impulsions où il est venu avec leur spectacle « Princesse ».
« Le spectacle «Princesse» aborde avec dérision l’univers merveilleux de l’enfance, des princesses et des poneys à travers le clown et le théâtre d’objet.
L’idée est de passer par le modèle de la princesse pour questionner la féminité et ce qu’elle a de performatif : les petites filles « jouent » à la princesse mais n’est-ce qu’un jeu ? Quelles en sont les règles, les codes ? Et sous ces codes, qu’est-ce qu’il reste ? »
Audrey Robin
Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.                                                       
06 83 16 40 81
http://www.collectifxxy.fr/

Liens utiles


Crédits photos : nous demander

Où nous trouver ?

ou-nous-trouver

Coordonnées

picto-adresse 13 E, rue Louis Braille
79000 Niort 
picto-tel 06 70 04 99 82
picto-mail impulsionsfemmes@orange.fr

Gardons le contact