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Mariana Otéro

photo Otero 1


Mariana Otéro a réalisé en 1994 pour Arte une série de six documentaires de 22 minutes, La Loi du collège, traitant de la vie quotidienne de jeunes adolescents dans une banlieue parisienne durant l'année scolaire 1992/1993.

En 2003, la cinéaste met en scène Histoire d'un secret, un film à mi-chemin entre le documentaire et la fiction dans lequel elle s'interroge sur la disparition de sa mère alors qu'elle n'était qu'une enfant. Sept ans plus tard la documentariste réalise son second long métrage. Entre nos mains, qui suit les turpitudes d'une petite coopérative française aux heures de la crise économique, est présenté au Festival de Cannes 2010 dans la sélection de l'ACID, l’Association pour le Cinéma Indépendant et sa Diffusion.
Ce film qui aborde la situation des femmes dans ce contexte de crise économique, nous voyons ces salariés majoritairement des femmes  qui prennent en main leur entreprise de lingerie menacée de faire faillite, en la transformant  en coopérative.

 Au fur et à mesure que leur projet prend forme, ils se heurtent à leur patron et à la réalité du « marché ». L’entreprise devient alors un petit théâtre où se jouent sur un ton espiègle, entre soutiens-gorge et culottes, des questions fondamentales économiques et sociales. Les salariés découvrent dans cette aventure collective une nouvelle liberté.
Et là est pour nous le déclic, Nous décidons deux ans plus tard de collaborer avec Mariana dans le cadre du Festival Impulsions en 2012. Non seulement, elle est marraine mais elle a également une carte de blanche dans la programmation cinématographique du festival.

« Etre féministe aujourd’hui, c’est aussi prendre en compte les enjeux économiques, la mondialisation qui ont une influence au niveau des rapports sociaux de sexe. S’interroger sur la situation des femmes dans la crise économique, c’est œuvrer à faire avancer le débat pour une meilleure égalité des femmes dans tous les domaines » (Mariana Otéro).
Un point partagé entre Mariana et Impulsions Femmes.

photo Otero 2

Cie Forget me not

La collaboration avec la compagnie s’est faite autour de leur théâtre musical « suis-je belle ? » pour l’édition 2014 du Festival Impulsions. Un spectacle reprenant les classiques d’Yvette GUILBERT. Une ambiance café-concert qui correspond très bien au style cabaret insufflé par le festival.

Ce spectacle est mis en scène par Laurent MEININGER, spectacle composé de Priscille CUCHE au chant et Agnès DOHERTY à la contrebasse.

Priscille CUCHE, après l'Ecole du Centre Dramatique National de Saint-Étienne, elle travaille sur plusieurs spectacles comme comédienne avec Chantal Morel (Crime et Chatiment, La Révolte,Frankenstein) , ainsi qu'avec Jean-Louis Hourdin dans Woyzeck, Une confrérie de Farceurs, Clarisse et Mehdi, et dans les spectacles chantés Je suis en Colère et Coups de Foudre. Elle travaille aussi en tant que marionnettiste avec Emilie Valantin sur Castelets en Jardins, avec Sophie Talabot dans Le Chant des Poulies. Elle travaille également avec Roland Fichet, Julie Brochen et Robert Cantarella sur le projet des Naissances, ainsi qu'avec Archipel Théâtre, Luc Chareyron, Jean Lambert-Wild, Christiane Véricel, Laurent Meininger, Cécile Marmouget. Elle met en scène Porcherie de P.P. Pasolini et Fin d'un Conte de Reinaldo Arena

Agnès DOHERTY se lance dans la musique de théâtre avec Jean-Louis HOURDIN en 2000 avec le théâtre ambulant Chopalovitch. Elle compose et interprète différentes musiques pour contrebasse et violoncelle. Depuis 2005, elle propose des créations en solo, des contes en musique pour enfants, des spectacles avec contrebasse croisant Fallet et Brassens.                                     

IntentionsLe spectacle parle de la femme et de l'amour, mais c'est sûrement plus large que ça...Je voudrais que ce soit un peu provocateur et militant tout en restant doux et drôle, en tout cas
IRONIQUE sur la femme et l'homme, parce qu'on a toujours rien compris d'un coté comme de l'autre, et c'est ça la grande affaire.
Ce qui rassemble ce répertoire en dehors de ces variations sur le même thème, c'est la traversée de la chanson populaire ancienne ou moderne, de la variété et du tube de radio. On y trouve quelque chose de commun, qui touche directement, comme un air d'enfance oublié. C'est ça qui me plait, la rengaine que tout le monde connaît sans la connaître et qui parle presque toujours de la même chose, de la difficulté des femmes et des hommes, des ambivalences et du drame tendre et risible de ces rapports humains.
..En d'autres termes, il s'agit du génial répertoire d’Yvette Guilbert en relation avec quelques chansons d'aujourd'hui, maniant comme elle l'ironie, la tendresse, la férocité et l'humour.

Yvette Guilbert est la grande interprète du caf'-conc' du début du XXème siècle.
Elle va traverser un demi-siècle, cherchant partout, dans le répertoire réaliste comme dans la chanson ancienne, du Chat Noir aux grandes salles parisiennes, ce qui peut témoigner de l'intrépidité du désir qui n'épargne personne, pas plus les femmes essayant d'échapper à leur condition que les hommes, héroïques marionnettes politiques. Première «diseuse fin de siècle» comme la caractérisaient ses contemporains, elle est sans doute une des premières chanteuses modernes, explorant le registre grave, le parlé-chanté, avec une grande liberté, dégagée des codes féminins de l'époque.


Julie Dossavi

photo dossavi 

Athlète de formation (UEREPS option danse contemporaine), Julie Dossavi danse avec Jean-François Duroure et Philippe Decouflé (assistante pour la cérémonie des J.O. d’Albertville). Elle est interprète et assistante chorégraphe auprès de Kettly Noël, danseuse interprète avec Salia Ni Seydou, Kader Attou et collabore à des défilés de mode (Jean-Paul Gaultier). En 2003, elle créé la Compagnie Julie Dossavi à Poitiers et développe une danse contemporaine très personnelle, hybride et robuste, sensuelle et plastique, toute en variations de formes et de rythmes. Elle compose des spectacles intimes autour de la condition féminine et du phénomène de la double culture.

A côté de pièces chorégraphiques pour plusieurs interprètes (Agbazémé avec des danseurs du Tchad, La nuit les chats le gris_Clubbing...), Julie Dossavi creuse la forme du solo dansé sur une scène partagée avec des musiciens ou des chanteurs. Invitée par la manifestation Le Vif du sujet en 2004, elle demande à Daniel Larrieu de lui composer un solo, À chaque vent le papillon se déplace sur le saule, présenté par les festivals Montpellier Danse et Paris Quartier d’été. En 2012, elle présente Cross & Share aux Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine Saint Denis, où elle explore une troisième voie, celle d'une co-composition, co-écriture et réunit autour d'un principe de création partagée des auteurs, chorégraphes, musiciens, metteur en scène de renom : Thomas Lebrun, Serge Aimé Coulibaly, Hamid Ben Mahi et Michel Schweizer.

Julie Dossavi est artiste associée aux Treize Arches – scène conventionnée de Brive Arts Croisés / Ecritures d’aujourd’hui de 2013 à 2015. Elle était en résidence au Théâtre d’Angoulême scène nationale de 2007 à 2011 et "artiste en partage" au Centre Chorégraphique National de la Rochelle de 2011 à 2013.
Entre Julie et Impulsions Femmes, la rencontre abouti à une collaboration artistique autour de « Lalaï ». « Lalaï » est une performance in situ pour une danse, une pianiste et une violoncelliste. Cette performance a été créée dans le cadre de l’édition 2012 du Festival Impulsions au Musée Bernard d’Agesci.

Pour en savoir plus : http://www.cie-juliedossavi.com
Crédits photos : Gregory Brandel

Juliette

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Après avoir passé son adolescence dans une institution religieuse. Elle entre en faculté de lettres puis de musicologie. Elle se produit régulièrement durant cette période dans les bars et restaurants de Toulouse, comme pianiste, en jouant du Brel ou du Edith Piaf.
Elle est découverte au Printemps de Bourges en 1985, quelques années plus tard, en 1991 elle remporte le prix du jury et du public au Tremplin de la chanson des Hauts-de-Seine, ce qui lui permet de produire son premier album Qué tal ?
En 1997 elle remporte sa première Victoire de la musique dans la catégorie révélation féminine pour son album « Rimes féminines ». En 2006, elle est consacrée artiste interprète féminine à ces mêmes Victoires pour son album « Mutatis Mutandis ».

Juliette aime aussi et surtout travailler avec les autres, ainsi elle a contribué à l’écriture de certaines chanson de l’artiste Olivia Ruiz en 2003 pour l’album « J’aime pas l’amour » et en 2005 pour le célèbre album « la femme chocolat ».
En 2013, elle a mis en scène le dernier spectacle musical du groupe Le Maxi Monster Music Show », groupe qu’elle a rencontré lors de son marrainage à l’édition 2011 du Festival Impulsions. Dernièrement, elle a collaboré avec Madame Raymonde à son dernier spectacle « Lady Raymonde » pour la mise en scène.

En 2013, elle sort son dernier album é « Nour » après « No parano » en 2011. photo juliette 2

Juliette est une artiste coup de cœur à Impulsions Femmes, artiste engagée, elle a été plus qu’une simple marraine pour le Festival Impulsions en 2011. Elle a été force de proposition, les rencontres à Impulsions Femmes ont donné lieu à des projets artistiques comme avec le groupe Maxi Monster Music Show.

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